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La colère ...

Bienfaitrice ou destructrice de nos relations ?


C'est un sujet qui s'est invité au sein d'un atelier il y a quelques semaines, suite à la verbalisation d'une croyance selon laquelle la colère serait, fatalement, génératrice de violence.


Les échanges qui ont suivi ont été riches et instructifs :


Il y a la colère que nous réprimons (ni reconnue, ni nommée) et qui, finalement, se retourne contre soi, et s'ancre douloureusement dans notre corps.


Il y a celle que nous préférons anesthésier, parce que nous pensons qu'elle nous expose beaucoup trop vis-à-vis de notre environnement, nous rendant ainsi vulnérable.


Il y a la colère que nous ne maitrisons pas, que nous déversons sur l'autre, et qui nous laisse possiblement des regrets, de la culpabilité, voire de la honte.


Et puis il y a celle qui se régule dans l'écriture, dans la pratique sportive ou encore par les bienfaits de la nature.



>>> En fait, chacun fait ce qu'il peut, et c'est déjà pas si mal 😇



Nous pourrions penser que la colère est une émotion qui prend possession de nous, et nous prive totalement de notre libre-arbitre.


Est-ce réel ?

Est-ce une perception réductrice de nos ressources ?


Quoiqu'il en soit, rien ne nous empêche de reprendre notre pouvoir d'être humain, en nous questionnant sur ce que nous voulons désormais faire de cette colère :


1/ La reconnaître en tant que telle, et la verbaliser pour simplement dire "STOP, mes limites sont dépassées" ?


2/ Ou la laisser nous submerger, nous transformer en quelqu'un que nous ne sommes pas, quitte à prendre le risque de détruire l'autre (et/ou soi-même) ?

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